Voici une autre vidéo, documentaire, sur l'exode des Pieds Noirs.
http://www.youtube.com/watch?v=8tfhfT1W1eQ
Le film s'appelle "C'est leur vie" réalisé par Kahina Aid.
Friday, July 20, 2007
YouTube and the Pieds-Noirs
fête à Nîmes
Voici ce que j'ai trouvé sur YouTube.com aujourd'hui. C'est l'Ascension, le Pèlerinage de Notre Dame de Santa Cruz, où j'étais en mai et dont je parle en bas. La seule chose qui manque c'est la procession de la Vierge. Sinon, c'est plus ou moins ce que j'ai vécu.
Voici ce que j'ai trouvé sur YouTube.com aujourd'hui. C'est l'Ascension, le Pèlerinage de Notre Dame de Santa Cruz, où j'étais en mai et dont je parle en bas. La seule chose qui manque c'est la procession de la Vierge. Sinon, c'est plus ou moins ce que j'ai vécu.
Sunday, July 8, 2007
45 years later - l'Amicale des Saïdeens

Very special thanks to the Baylé family who treated me like an honored guest during our stay in Toulouse and have sent me many materials for my research. I'd also like to thank Claire Lesca, the new treasurer of the association who spent a good hour during lunch giving me precious bits of information.

Thursday, May 31, 2007
Mehdi Charef - la vraie vérité, the true truth
31 mai 2007
Dans un entretien publié le 25 mai 2007 dans Le Figaro « Mehdi Charef retourne à ses douleurs d’enfance » avec Brigitte Baudin, Mehdi Charef parle de la sortie de son film Cartouches gauloises qui traite « son arrachement à la terre de ses ancêtres » pour « restituer la vérité vraie ». Charef dit de son personnage principal, « Ali, c’est moi » et qu’il lui fallait 10 ans de pouvoir confronter son passé qui continue à lui faire mal. Effectivement, il a dû confronter certaines violences enfouies dans sa mémoire lors de la production du film. Charef est venu en France, toujours enfant, en 1963. Tandis qu’il parle de son passé dans les mêmes termes utilisés par les Pieds-Noirs, il ne se met pas de leur côté. Charef dit qu’en Algérie « Les colons vivaient en cercle fermé. Contrairement aux juifs qui parlaient arabe, connaissaient notre culture et avaient ouvert des magasins dans la médina. Et c'est là d'où vient tout le drame. Si les pieds-noirs avaient aimé les Arabes autant que leur terre, ils n'auraient probablement jamais quitté l'Algérie ».
In an interview published May 25, 2007 in the Figaro, “Mehdi Charef returns to the pain of his childhood” with Brigitte Baudin, Mehdi Charef speaks about the release of his film Cartouches gauloises which addresses being “torn out of the land of his ancestors” in an effort to “restore the true truth.” Charef says of his main character, “Ali is me” and that it took him ten years to be able to confront his past which still hurts him. Indeed, he had to confront certain traumas repressed in his memory during the production of the film. Charef was still a child when he came to France in 1963. Although he speaks about his past in the same terms used by the Pieds-Noirs, he doesn’t classify himself with them. He says that in Algeria, “The colons lived in a closed circle unlike the Jews who spoke Arabic, knew our culture, and had opened stores in the medina. And that’s where all the drama comes from. If the Pieds-Noirs had loved the Arabs as much as their land, they probably would have never left Algeria.”
Dans un entretien publié le 25 mai 2007 dans Le Figaro « Mehdi Charef retourne à ses douleurs d’enfance » avec Brigitte Baudin, Mehdi Charef parle de la sortie de son film Cartouches gauloises qui traite « son arrachement à la terre de ses ancêtres » pour « restituer la vérité vraie ». Charef dit de son personnage principal, « Ali, c’est moi » et qu’il lui fallait 10 ans de pouvoir confronter son passé qui continue à lui faire mal. Effectivement, il a dû confronter certaines violences enfouies dans sa mémoire lors de la production du film. Charef est venu en France, toujours enfant, en 1963. Tandis qu’il parle de son passé dans les mêmes termes utilisés par les Pieds-Noirs, il ne se met pas de leur côté. Charef dit qu’en Algérie « Les colons vivaient en cercle fermé. Contrairement aux juifs qui parlaient arabe, connaissaient notre culture et avaient ouvert des magasins dans la médina. Et c'est là d'où vient tout le drame. Si les pieds-noirs avaient aimé les Arabes autant que leur terre, ils n'auraient probablement jamais quitté l'Algérie ».
In an interview published May 25, 2007 in the Figaro, “Mehdi Charef returns to the pain of his childhood” with Brigitte Baudin, Mehdi Charef speaks about the release of his film Cartouches gauloises which addresses being “torn out of the land of his ancestors” in an effort to “restore the true truth.” Charef says of his main character, “Ali is me” and that it took him ten years to be able to confront his past which still hurts him. Indeed, he had to confront certain traumas repressed in his memory during the production of the film. Charef was still a child when he came to France in 1963. Although he speaks about his past in the same terms used by the Pieds-Noirs, he doesn’t classify himself with them. He says that in Algeria, “The colons lived in a closed circle unlike the Jews who spoke Arabic, knew our culture, and had opened stores in the medina. And that’s where all the drama comes from. If the Pieds-Noirs had loved the Arabs as much as their land, they probably would have never left Algeria.”
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